DEATH DEFYING ACTS (2007)

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Manu le 28/04/2011 à 17:26

Réalisé par Gillian Armstrong
Avec Guy Pearce, Catherine Zeta-Jones, Timothy Spall, Saoirse Ronan, Malcolm Shields.
Film anglais, australien
Genre : Comédie dramatique, romance
Durée : 1h 34min.
Année de production : 2007
Titre français : Au delà de l'illusion
Musique : Cezary Skubiszewski

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.

Les notes

3.0

Critique DEATH DEFYING ACTS (2007)

Avis rédigé par Manu | le 28/04/2011. | Note : 3.0

La réalisatrice Gillian Armstrong est, au même titre que Peter Weir, Philip Noyce, Richard Franklin ou George Miller, issue de la nouvelle vague australienne des années 70. Je garde pour ma part un bon souvenir de son Mrs Soffel, premier film de la Madame tourné sur le sol américain, tandis que Little Women et Oscar and Lucinda n’avaient pas franchement suscité grand enthousiasme chez moi. Je me suis donc décidé à jeter un oeil sur ce titre plus par curiosité que par envie, sans en espérer grand chose à l'arrivée.

Death defying acts peut être perçu comme le dernier volet d’un non officiel triptyque spécial « magie et sciences du paranormal » sorti sur les écrans entre 2006 et 2007 et comprenant pour premiers opus The Illusionist de Neil Burger et The Prestige de Christopher Nolan. Toutefois point – ou alors très peu - de fantastique pur dans ce récit mettant en scène le grand Harry Houdini. Mais une romance psychologique jouant davantage la carte de l’atmosphère surannée un rien « magique » et de l’émotion lyrique à l'ancienne. Les amateurs d'intrigue à suspense très élaborée en seront donc pour leurs frais ....

Cependant, il me semble que c'est justement la modestie de son programme, le petit charme évanescent enveloppant cette histoire simple mais correctement écrite et surtout très élégamment mise en scène qui constituent l’attrait principal du film.

De leur côté, Catherine Zeta-Jones, dont l’accent écossais m’a paru un brin forcé, et Guy Pearce, font correctement leur boulot, sans plus. Et l'on peut légitiment leur préférer la plus mystérieuse Saoirse Ronan dont le troublant minois est ici joliment exploité.

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