BLUE DENIM (1959)
Léo le 26/03/2014 à 17:13
Réalisé par Philip Dunne
Avec Brandon De Wilde, Carol Linley, MacDonald Carey, Marsha Hunt, Warren Berlinger.
Film américain
Genre : Drame
Durée : 1h 29min.
Année de production : 1959
Titre français : La fille en blue-jeans
Musique : Bernard Herrmann
Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
Avec Brandon De Wilde, Carol Linley, MacDonald Carey, Marsha Hunt, Warren Berlinger.
Film américain
Genre : Drame
Durée : 1h 29min.
Année de production : 1959
Titre français : La fille en blue-jeans
Musique : Bernard Herrmann
Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
Critique BLUE DENIM (1959) |
Avis rédigé par Manu
| le .
| Note : 2.7
Blue denim est la septième réalisation du scénariste Philip Dunne. Le film est une adaptation du succès théâtral de Broadway éponyme de James Leo Herlihy, futur auteur du roman « Macadam cow-boy ». Abordant comme sujet la grossesse /parentalité précoce et l’avortement, la pièce fut évidemment sujette à polémique dans la rigoureuse Amérique de la fin des années 50. Au point que, ne pouvant décemment être transposée telle quel à l’écran, sa trame se vit fortement réaménagée par Dunne et ses scénaristes. Ainsi, dans le film, contrairement à ce qu’il advient dans la pièce, l’héroïne se voit sauvée in extremis de l’avortement. Par ailleurs, bien qu’il en soit question durant la majeure partie du film, le mot « avortement » même n’est pas prononcé une seul fois au cours du film.Pure « time capsule » à l’intérêt davantage historico-sociologique que cinématographique, Bleu denim amuse aujourd’hui beaucoup plus qu’il ne choque, quel que soit la position du spectateur sur le sujet toujours controversé qu’il illustre. Son approche pédagogique éléphantesque contrebalancée par moult petits détails pertinents tenant au fonctionnement de la cellule familiale / rapports parents-enfants garantissent en tout cas un spectacle à la fois instructif et divertissant à défaut d’un véritable bon film.
Du cinéma à thèse savoureusement rétro, plutôt efficace à sa façon si forcement discutable dans le fond, bénéficiant en outre d’une très belle partition musicale de Bernard Herrmann (laquelle donne par moment la curieuse impression de se trouver chez Hitchcock).
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