THE SECRET PARTNER (1961)

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Léo le 04/12/2014 à 10:15

3.1

Réalisé par Basil Dearden
Avec Stewart Granger, Haya Harareet, Bernard Lee, Norman Bird, Hugh Burden.
Film britannique
Genre : Thriller
Durée : 1h 31min.
Année de production : 1961
Titre français : Scotland Yard contre X
Musique : Philip Green

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.

Les notes

3.1

Critique THE SECRET PARTNER (1961)

Avis rédigé par Manu | le 04/12/2014. | Note : 3.1

The Secret partner est la première des deux réalisations de l’anglais Basil dearden sorties au cours de l’année 1961 Ecrit par le binôme David Pursall / Jack Seddon, ultérieurement responsables des scripts de The Blue max, The Southern star et du Tomorrow never comes de Peter Collinson, le film est l’une des 34 collaborations de Dearden avec le producteur Michael Relph. Il marque par ailleurs la seconde et dernière collaboration du cinéaste avec l’acteur Stewart Granger, 13 ans après le biopic Saraband for dead lovers.

Un peu tiré par les cheveux, ce thriller à tiroir, j'en conviens, mais tout à fait plaisant à suivre, une fois son rythme de croisière trouvé, c’est-à-dire au bout d’une petite vingtaine de minutes. The Secret partner prend alors son envol avec assurance, sous la baguette experte de Basil Dearden, excellent représentant du cinéma de divertissement anglais des années 60, tout aussi à l’aise dehors, sur les quelques intéressantes séquences en extérieurs du film (explorant notamment les bords de la Tamise) que dedans, dans ces passages made in studio, nécessitant un travail souvent plus ouvertement « stylisé » pour retenir l’attention du spectateur.

Une belle ambiance à suspense donc, entretenue notamment par des cadrages flattant souvent l’œil cinéphilique, dans un beau noir et blanc, que soutient dignement une interprétation sans éclat particulier mais sans fausse note non plus, et bonne petit score jazzy pour parfaire l’atmosphère presque noirish de l’œuvre.

Bref, The Secret partner est un bon petit en-cas à l’anglaise, un brin rocambolesque - on pense d’ailleurs par moment au souvent délirant krimi allemand avec son personnage masqué à la voix trafiquée - mais parfaitement maitrisé et très agréable à suivre, en dépit d’une exposition peut-être un chouia laborieuse.

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