PUPPET MASTER 5 - THE FINAL CHAPTER (1994)

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Manu le 17/05/2009 à 09:30

2.5

Réalisé par Jeff Burr
Avec Gordon Currie, Ian Ogilvy, Guy Rolfe, Willard Pugh, Clu Gulager.
Film américain
Genre : Epouvante
Durée : 1h 21min.
Année de production : 1994

Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.

Les notes

2.5

Critique PUPPET MASTER 5 - THE FINAL CHAPTER (1994)

Avis rédigé par Manu | le 01/01/2009. | Note : 2.5

Puppet Master 5 : The Final chapter est, comme son titre l'indique, le cinquième épisode d'une saga comptant 6 films à ce jour. N'ayant vu que les opus 1 et 3 il y a plusieurs années, et ce cinquième volet étant une suite directe du précédent numéro, j'ai eu peur, dans un premier temps, de rentrer avec difficulté dans l'histoire. Fort heureusement il s'avère rapidement que celle-ci est très simple à suivre, et qu'en plus les auteurs ont pensé aux spectateurs dans ma situation, puisqu'ils nous balancent à la sixième minute du film un flash-back résumant méticuleusement tous les évènements du précédent numéro.

C'est sympa pour moi, même si d'un autre côté ça sent un peu le plan « Merdouille, on n'a qu'1 heure 15 de film dans la boite, générique compris, ça fait pas très sérieux tout ça, qu'est-ce qu'on fait ? », « Ben, écoute, p'tit, va me chercher le master du numéro 4, j'ai une idée, tu vas voir... ». Tout ça sent donc bon le budget ultra-serré, avec par-dessus le marché un script sous assistance respiratoire (voir les longues scènes d'incantation satanique du méchant marionnettiste from space, qui servent elles aussi à gagner du temps).

Reste que ce Puppet master 5 a quand même quelques atouts dans sa manche : son premier se nomme Jeff Burr, un bon petit cinéaste spécialisé dans l'horreur / fantastique (également aux commandes du 4, tourné en même temps il me semble) qui a l'habitude de bosser avec pas grand-chose sous la main et aime visiblement le genre cinématographique qu'il sert, ce qui s'en ressent pas mal dans le soin porté à la forme, le second David Allen, responsable des effets visuels, qui règle encore ici de belles séquences d'animation.

Bilan honorable au final, même si pas suffisant pour me donner envie de me jeter de suite sur l'épisode 6.

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