DIE SIEBEN MANNER DER SUMURU (1969)
Manu le 20/07/2019 à 07:57
Réalisé par Jesus Franco
Avec Shirley Eaton, Richard Wyler, George Sanders, Maria Rohm, Elisa Montés.
Film américain, allemand, espagnol
Genre : Aventure
Durée : 1h 34min.
Année de production : 1969
Titre français : Sumuru, la cité sans hommes
Musique : Daniel White
Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
Avec Shirley Eaton, Richard Wyler, George Sanders, Maria Rohm, Elisa Montés.
Film américain, allemand, espagnol
Genre : Aventure
Durée : 1h 34min.
Année de production : 1969
Titre français : Sumuru, la cité sans hommes
Musique : Daniel White
Sortie Cinéma France : n.c.
Sortie DVD France : n.c.
Critique DIE SIEBEN MANNER DER SUMURU (1969) |
Avis rédigé par Manu
| le .
| Note : 2.5
Die Sieben männer der Sumuru est l’une des 7 réalisations signées par Jess Franco au cours de la seule année 1969. Coproduction américano-germano-espagnole tournée au Brésil et en Espagne, le film fait suite au The Million eyes of Sumuru de Lindsay Shonteff, titre également produit par Harry Alan Towers. Il marque l’unique collaboration de Jess Franco avec l’acteur anglais George Sanders ainsi que la dernière apparition sur grand écran de l’actrice Shirley « Goldfinger » Eaton.Inspiré des écrits de Sax Rohmer consacrés au personnage de la reine du crime Sumuru, Die Sieben männer der Sumuru est l’une de ces aventures psyché-pop à l’ambiance de bande dessinée pour adultes typiques du cinéma de Franco de cette époque.
Plus précisément, l’œuvre fait le lien entre ses travaux de genre disons commerciaux du milieu des années 60, bénéficiant la plupart du temps de budgets relativement honorables pour ce cinéaste, et la veine la plus personnelle de son cinéma, offrant un cinéma d'exploitation parfois plus intriguant à défaut de se révéler toujours plus convaincant, ouvertement tourné vers l’expérimental / underground.
En cela, le film n’a rien d’une aventure d’espionnage traditionnelle. Elle se caractérise avant tout par une narration / construction de type contemplative et une théâtralité / artificialité assumée qui en rebuteront certainement plus d’un.
Bref, ce n’est pas L’homme de Rio, et Jess Franco nous a probablement servi plus fun au sein même de ce type d’exercice, mais, armé d’un peu de patience et curiosité, il possible de trouver amusante cette bisserie intello.
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